Avant toute intervention directe ou indirecte sur une installation électrique il est nécessaire de couper le courant au niveau du tableau général et du disjoncteur général, de vérifier l’absence de tension à l’aide d’un appareil électrique par exemple, de bien respecter les normes en vigueur (a titre d’exemple la norme C15-100 pour «l’habitation»), et enfin de n’utiliser que des produits aux normes CE.
Par ailleurs, il est nécessaire d’utiliser des outils isolés (par des manches plastique par exemple), de porter des chaussures (celles-ci vous isoleront du sol), et de travailler dans un environnement sec. Dénuder les fils Etape 2 : Dénuder les fils
Commencer par dénuder à l’aide d’un cutter ou d’une pince à dénuder chacun des fils. Sur environ 6 à 8 mm. Visser la plaque Etape 3 : Visser la plaque
Les appareillages selon les constructeurs peuvent être différents.
Sur notre exemple, l’appareillage se compose de 3 parties, la plaque qui est à fixer préalablement à la boite encastrée, un module prise de courant, puis un enjoliveur en plastique.
Visser la plaque au boîtier encastré. Brancher les fils Etape 4 : Brancher les fils
Brancher la phase (fil rouge) sur la borne L et brancher le neutre (fil bleu) sur la borne 1 ou 2 (indifférent) par simple introduction des fils. Clipser le module Etape 5 : Clipser le module Clipser le module à la plaque, puis positionner votre enjoliveur. Astuce Etape 6 : Astuce
Certains fournisseurs d’appareillages, proposent une astucieuse protection en plastique permettant de protéger l’appareillage de la peinture des murs, parfois réalisé après avoir posé les prises et interrupteurs.
Les plaques de plâtre nécessitent des chevilles et vis spécifiques si vous souhaitez y accrocher un tableau, des étagères…
Une perceuse electrique, d'une spéciale, d'une cheville meta Etape 1 : Le matériel utile
Pour cette opération vous aurez besoin d'une perceuse electrique, d'une spéciale, d'une cheville metallique, d'une vis adaptée, d'un tournevis. Noter le point de fixation Etape 2 : Noter le point de fixation
Les plaques de plâtre nécessitent des chevilles et vis spécifiques si vous souhaitez y accrocher un tableau, des étagères… Percer le trou muni de la perceuse electrique Etape 3 : Percer le trou muni de la perceuse electrique
Muni d’une perceuse électrique, pré percer à la taille de la cheville à plaque de plâtre que vous souhaitez installer (ici diamètre 8mm). Devisser la tête de la vis Etape 4 : Devisser la tête de la vis
Dévissez de quelques millimètres la tête de la visse afin de pouvoir glisser entre la tête de visse et la cheville la pince spécifique prévue à cet effet. Introduire la cheville Etape 5 : Introduire la cheville Enfoncer manuellement la cheville dans le trou réalisé, puis à l’aide de la pince, procédez à l’écartement de la cheville. Ces pinces peuvent revêtir des formes différentes et sont vendues dans toutes les grandes surfaces de bricolage. Régler la taille de votre point de fixation Etape 6 : Régler la taille de votre point de fixation
Votre point de fixation est installé il vous suffit de visser ou dévisser à l’aide d’un tournevis.
Découper une plaque de plâtre peut être réalisé d’une manière simple et rapide à l’aide d’un cutter et d’une règle.
règle, d'un cutter, d'un crayon et d'un rabot à plaques de p Etape 1 : Matériel utile
le matériel utile pour découper une plaque de plâtre se compose d'une longue règle, d'un cutter, d'un crayon et d'un rabot à plaques de plâtre.
Tracer la coupe Etape 2 : Tracer la coupe
Commencer par tracer la coupe désirée à l’aide de 2 repères de part et d’autre de la plaque. Entailler la plaque Etape 3 : Entailler la plaque
Placer la règle sur la plaque, puis entailler la partie supérieure de la plaque de plâtre à l’aide du cutter le long de la règle. Casser la plaque Etape 4 : Casser la plaque
Il ne vous reste qu’à casser la plaque de plâtre le long de l’entaille en exerçant une pression de la main. Séparer la plaque Etape 5 : Séparer la plaque
Un coup de cutter permet enfin de séparer définitivement les 2 plaques. Ebavurer la coupe Etape 6 : Ebavurer la coupe
Si nécessaire vous pouvez ébavurer la coupe réalisée à l’aide du rabot spécial plaque de plâtre.
Les chevilles à frapper permettent de fixer facilement et rapidement tout type d’objet à un mur plein ainsi qu’un gain de temps conséquent à la mise en œuvre.
Visseuse, marteau, niveau à bulle, cheville à frapper Etape 1 : Matériel utile
Vous aurez besoin d'une perceuse électrique, d'un marteau, d'un niveau à bulle, d'une cheville à frapper. Percer le mur Etape 2 : Percer le mur
Il existe tout type de longueur et de taille de cheville à frapper (dans notre exemple diamètre 6 mm). Commencer par positionner l’objet contre le mur, puis percer le trou à l’aide d’une perceuse électrique. Enfoncer la cheville à frapper Etape 3 : Enfoncer la cheville à frapper
Une fois le trou réalisé, glisser la cheville à frapper dans le trou, puis à l’aide d’un marteau enfoncer en quelques coups les vis dans les chevilles. De cette manière, il est très simple d’installer un tableau contre un mur par exemple.
Il existe une astuce pour manipuler facilement les sacs de ciments.
Un sac de 35 kg est parfois lourd à manipuler seul, est quand il s’agit de faire une dizaine de bétonnière à la suite pour couler une dalle par exemple mieux vaut s’économiser!
Poser le sac Etape 1 : Poser le sac
La première étape consiste à poser au sol et à plat le sac de ciment.
Ouvrir le sac de ciment à l'aide d'une pelle Etape 2 : Ouvrir le sac de ciment à l'aide d'une pelle
A l’aide d’une pelle il faut inciser d’un coup sec le sac de ciment en son milieu. Pour plus de faciliter positionner la pelle au milieu du sac, et avec votre pied forcer sur la pelle pour le transpercer!
Diviser le sac de ciment en 2 moitiés Etape 3 : Diviser le sac de ciment en 2 moitiés
IL faut ensuite faire remonter à l’aide des 2 mains la partie centrale du sac le divisant ainsi en deux moitiés de sacs.
Terminer de couper le sac Etape 4 : Terminer de couper le sac
Finir de déchirer le sac en papier a l’aide de la truelle.
Fin de l'opération Etape 5 : Fin de l'opération
Ca y est votre sac ne pèse plus que 17 kg, il est donc beaucoup plus facile de le verser dans la bétonnière ou dans un saut!
Il est important de commencer
ce point par rappeler que toute modification majeure de son habitation,
et a priori toutes modifications venant à changer l’aspect extérieur
d’un bâtiment doivent faire l’objet d’un permis de construire.
Est il techniquement possible de rehausser sa maison ?
Dans la plupart des cas effectivement il est possible venir à bout de ce type de projet.
Etape 1 : Constat de départ
Ici il s’agit d’un garage que l’on souhaitait transformer en
espace habitable, la hauteur n’étant pas suffisante, nous avons décidé
de rehausser le toit.
Quelque moi plus tard, un permis de construire en poche nous voila parti dans l’aventure.
Etape 2 : Vérifier l'Etat de la toiture
Par chance la toiture était saine et a pu être démontée puis remontée et donc n’a pas entraîner de gros frais sur ce poste.
Etape 3 : Démonter la toiture existante
La première étape a donc été naturellement de démonter la
toiture, puis de casser les rives, et retrouver les parpaings des murs.
Etape 4 : Monter les murs en parpaings
La première étape a donc été naturellement de démonter la
toiture, puis de casser les rives, et retrouver les parpaings des murs.
Etape 5 : Réinstallation de la charpente et des tuiles
La charpente a été réutilisée à 95 % et les tuiles ont été réutilisées à 80 % environ.
Etape 6 : Création des nouvelles ouvertures
Deux hublots ont été installés sur le mur latéral, deux
menuiseries étaient prévues en lieu et place de l ancienne porte de
garage et une baie vitrée coulissante avec coffre pour volet roulant
intégré pour la façade avant de la pièce.
Etape 7 : Enduire la façade
Les enduits de façades ont été réalisés a l’aide d’un enduit de
façade teinté en usine et donc d’emploi très simple étant donné qu’il
suffit le malaxer avec de l’eau : l’accroche est bonne, la couleur est
uniforme et sans surprise, un temps d’utilisation largement confortable
et enfin un grain très fin qui permet une finition de type «écrasée»
très fine.
Attention!! Avant toute intervention directe ou indirecte sur une installation électrique il est nécessaire de couper le courant au niveau du tableau général et du disjoncteur général, de vérifier l’absence de tension à l’aide d’un appareil électrique par exemple, de bien respecter les normes en vigueur (a titre d’exemple la norme C15-100 pour «l’habitation»), et enfin de n’utiliser que des produits aux normes CE. Par ailleurs, il est nécessaire d’utiliser des outils isolés (par des manches plastique par exemple), de porter des chaussures (celles-ci vous isoleront du sol), et de travailler dans un environnement sec.
Dénuder les fils electriques Etape 1 : Dénuder les fils electriques
Installer une PC nécessite le plus souvent une section de fils de 2, 5 mm2, et la présence d’une terre (fil couleur vert/jaune). Commencer par dénuder à l’aide d’un cutter ou d’une pince à dénuder chacun des fils sur environ 6 à 8 mm. Fixer la plaque au boitier Etape 2 : Fixer la plaque au boitier
Les appareillages selon les constructeurs peuvent être différents. Sur notre exemple, l’appareillage se compose de 3 parties, la plaque qui est à fixer préalablement à la boite encastrée, un module prise de courant, puis un enjoliveur en plastique. Commencer par positionner la plaque, puis la visser à l’aide des vis du boîtier encastré. Insérer les fils dans le module Etape 3 : Insérer les fils dans le module
Insérer ensuite chaque fil dans les bornes correspondantes du module PC en respectant les codes couleur (les nouveaux appareillages ne nécessitent plus de visser le fil à la prise). Clipser l'appareillage à la plaque Etape 4 : Clipser l'appareillage à la plaque
L’appareillage se clipse ensuite à la plaque déjà vissée sur le boîtier. Positionner l'enjoliveur Etape 5 : Positionner l'enjoliveur
Il ne vous reste plus qu’à positionner l’enjoliveur. Protection contre la peinture Etape 6 : Astuce
Astuce: certains fournisseurs d’appareillages, proposent une astucieuse protection en plastique permettant de protéger l’appareillage de la peinture des murs, parfois réalisé après avoir posé les prises et interrupteurs.
Cette étape est importante dans le cas de raccords pour des tuyaux d'évacuation en règle générale.
Couper le tuyau en PVC Etape 1 : Couper le tuyau en PVC
Couper le PVC à la dimension souhaité à l’aide d’une scie fine. Une fois la coupe réalisée ébavurer à l’aide d’un cutter l’intérieur et l’extérieur du tuyau en PVC. Poncer l'extrémité du tuyau Etape 2 : Poncer l'extrémité du tuyau
Poncer légèrement à l’aide papier de verre les parties à coller du tuyau en pvc et de l’intérieur du manchon à coller. Présenter le manchon Etape 3 : Présenter le manchon
Présenter à sec le manchon à coller afin de régler la profondeur et l’axe du manchon à coller. Pour ce faire réaliser un marquage au crayon à papier horizontal et vertical (pour l’axe) sur le tuyau à coller. Nettoyer si besoin à l’aide d’un décapant les deux parties à coller afin que la colle fasse tout son effet. Coller le manchon en PVC Etape 4 : Coller le manchon en PVC
A l’aide de colle à PVC, enduire de manière longitudinale les 2 parties à coller. Sans perdre de temps emboîter les 2 parties en respectant le marquage préalablement réalisé. Laisser sécher Etape 5 : Laisser sécher
Ne pas manipuler pendant une dizaine de minute afin que le collage soit définitif.
Le plus souvent au cours de travaux de rénovation ou d’installation, il est nécessaires de séparer l’étape du tirage des gaines (vides) en début de chantier, de l’étape du tirage des fils et raccordement aux équipements électriques ou à l’appareillages d’un coté et au tableau de l’autre. Au plus la gaine est longue au plus le tirage des fils peut être difficile si celle celle-ci a mal été positionné. Il est donc conseillé d’éviter les petits diamètres de gaines ICT, bien les fixés à de nombreux points, et de bien veiller à ne pas faire de coudes prononcés lors du passage des gaines.
l'aiguille metallique Etape 1 : Faire une boucle avec l'aiguille metallique
La gaine (ICT), est le plus généralement équipée d’une aiguille (fil de fer) permettant d’y accrocher les fils d’un coté et de tirer de l’autre… La première opération consiste à faire une boucle à l’extrémité de cette aiguille métallique. Dénuder les fils Etape 2 : Dénuder les fils
Une fois le faisceau de fils nécessaire étudié il faut les dénuder afin de les accrocher de manière efficace à la boucle ainsi préparée. Accrocher les fils à la boucle Etape 3 : Accrocher les fils à la boucle
Accrocher alors les fils à la boucle. Faire courir le faisceau de fil dans la gaine Etape 4 : Faire courir le faisceau de fil dans la gaine
Enfin il est possible de faire courir le faisceau de fils dans la gaine en tirant sur l’aiguille… Bonne chance ! En cas de difficulté majeure voici les petits conseils à suivre: -Utiliser de l’adhésif de type « électricien » pour entouré la jonction des fils de cuivre à l’aiguille métallique. -Utiliser une pâte facilité le tirage des fils : sorte de graisse vendu spécialement à cet effet dans les GSB par exemple. -Utiliser une aiguille en nylon en lieu et place de l’aiguille métallique (plus solide et plus agréable pour les mains dans l’effort!). -Enfin si les fils ne passent toujours pas: arrêter l’électricité! Faite de la couture…
Une soudure à l’étain ne nécessite qu’un petit matériel mais n’est à utiliser que pour des petites réparations ou installations. Pour une installation plus complexe, préférez l’utilisation d’un poste à souder professionnel.
Etain, chalumeau, solvant décapant pour cuivre Etape 1 : Matériel utile
pour cela il faut utiliser de l'étain, un chalumeau et un solvant décapant pour cuivre. Nettoyer les surfaces à souder Etape 2 : Commencer par nettoyer les surfaces à souder
Avant de chauffer le cuivre il est nécessaire de nettoyer les parties à souder à l’aide d’un solvant décapant spécial cuivre, l’application se fait au pinceau sur les deux parties à souder. Chauffer les pièces une après l'autre Etape 3 : Chauffer les pièces une après l'autre
Chauffer à l’aide du chalumeau les deux surfaces à souder pendant quelques secondes de manière à faire disparaître le décapant. De même le raccord doit être chauffé afin d’éliminer les restes de solvant. Une fois les 2 pièces décapées, emboîter le raccord au tuyau de cuivre. Souder les pièces avec l'étain Etape 4 : Souder les pièces avec l'étain
Bien veiller à respecter le bon chevauchement des 2 pièces à souder puis chauffer pendant plusieurs secondes de manière uniforme les 2 pièces emboîtées l’une dans l’autre puis présenter le fil d’étain à la jonction des 2 pièces. Par capillarité l’étain va combler l’interstice entre les 2 pièces à souder. Répéter l’opération de chauffage et d’application de l’étain si besoin. Répéter l’opération pour la 2ieme partie du coude. NB: si l’étain ne fond pas, c’est que le préchauffage des cuivres était insuffisant. Astuce: conserver prés de vous un seau d’eau afin de faire refroidir plus rapidement vos pièces de cuivres entre 2 soudures. Les pièces sont donc soudées Etape 5 : Fin de l'opération
Le PER, polyéthylène réticulé est de plus en plus une alternative au cuivre pour la réalisation de systèmes hydrocablés. De couleur rouge pour l’eau chaude et bleue pour l’eau froide, ils sont le plus souvent utilisés encastrés dans les murs. La souplesse du PER offre un grand confort d’utilisation. Plusieurs systèmes existes pour raccorder ces tuyaux entre eux, aux nourrices de distribution, aux différents sanitaires etc. Le système le plus utilisé par les professionnels est le sertissage à l’aide d’une pince à sertir. L’achat de ce type pince est plutôt onéreux pour un non professionnel, il est cependant souvent possible d’en louer une quelques jours chez la plupart des loueurs de matériels ou encore chez certain distributeur de fourniture de plomberie.
Pince à sertir PER, pince coupante... Etape 1 : Matériel Utile
Il vous faudra pour réaliser cette opération, une pince à sertir spéciale PER, une pince coupante, un cutter ainsi que les matériaux propres au PER (tuyau, raccords…). Couper le tuyau à la bonne dimension Etape 2 : Couper le tuyau à la bonne dimension
Il faut commencer par couper le tuyau à la dimension souhaitée à l’aide d’une pince prévue à cet effet. Puis ébavurez le tuyau à l’aide d’un cutter. Glisser la bague et la souche en laiton Etape 3 : Glisser la bague et la souche en laiton
Commencer par glisser la bague sur le PER, puis enfoncer à l’intérieur du PER la souche en laiton précédée de l’écrou souhaité. Sertir le raccord Etape 4 : Sertir le raccord
Une fois les mâchoires du bon diamètre de PER installé sur la pince à sertir (ici du 16mm), il faut placé la pince autour le la bague, et actionner la pince. La pince cessera la pression sur la bague automatiquement des que le couple de pression du serrage aura été atteint. Pas de risque d’endommager le raccord, c’est un jeu d’enfant! le raccord est serti Etape 5 : Fin de l'opération
Réaliser une étanchéité entre 2 raccords métalliques à visser à l’aide de fillasse et de pâte à joint. Cet exercice vous sera utile par exemple dans le cadre de la pose d’un robinet.
filasse, de la pâte à joint, des raccords cuivre et une pinc Etape 1 : Le matériel utile Il vous faudra pour réaliser cette étancheité de la filasse, de la pâte à joint, des raccords cuivre et une pince. Marquer le filetage du raccord Etape 2 : Commencer par marquer le filetage du raccord Marquer tout d’abord à l’aide d’une pince le filetage du raccord à visser male. Appliquer la pâte à joint Etape 3 : Appliquer la pâte à joint
Appliquer la pâte à joint sur le filetage du raccord male. Etaler la pâte à joint sur le filetage Etape 4 : Etaler la pâte à joint sur le filetage
Egaliser la quantité de pâte à joint à l’aide de votre doigt. Enrouler la filasse Etape 5 : Enrouler la filasse
Enrouler de la fillasse le long du filetage du raccord dans le sens du vissage, c’est à dire dans le sens des aiguilles d’une montre. Réaliser plusieurs tours en suivant le filetage du raccord et en serrant le plus possible la fillasse autour du raccord. Appliquer une couche de pâte supplémentaire Etape 6 : Appliquer une couche de pâte supplémentaire
Appliquer une couche de pâte supplémentaire sur la fillasse ainsi posée. Visser les raccords en cuivre Etape 7 : Visser les raccords en cuivre
Enfin visser votre raccord. La mise en eau peut être instantanée et votre étanchéité sera garantie pour une eau allant jusqu’à 135°C.
Plusieurs
techniques existent pour procéder au doublage d’un mur, dans notre
exemple le mur à doubler n’étant pas régulier il faut procéder à un
doublage sur ossature. Sinon on aurait pu imaginer de coller des plaques
de plâtres directement contre le mur.
Etape 1 : tracer l'implantation de l'ossature metallique
Commencer par implanter l’ossature métallique périphérique. Ici
nous utilisons un niveau laser permettant rapidement de pouvoir tracer
l’implantation périphérique. Le laser est placé sur une calle permettant
un ajustement vertical facile. Il est toutefois possible d’utiliser un
simple niveau à bulle et une longue règle pour placer l’implantation.
Dans notre exemple, nous devons isoler le mur de la future chambre à
coucher, pour cette raison nous devons prévoir 10cm entre le futur
doublage et le mur d’origine afin de pouvoir y insérer 10mm de laine
minérale entre le mur et le doublage.
Etape 2 : Réaliser le trait au cordeau
Une fois les marques de niveaux réalisées au crayon à papier il
est conseillé de réaliser un trait au cordeau afin de matérialiser
l’implantation. Pour ce faire, il peut être nécessaire de planter un
clou d’un côté du trait à tirer et de tirer son cordeau de l’autre.
Etape 3 : Commencer par fixer le rail supérieur et inférieur
Les marques périphériques matérialisées, il s’agit maintenant de
fixer le rail supérieur et inférieur du futur doublage. Couper le rail
de manière à faire remonter 10 à 20 cm du rail sur les cloisons
adjacentes (Les rails sont des R48 c'est-à-dire de 48mm de largeur).
Etape 4 : Utiliser les bonnes chevilles selon le support
Une fois le rail posé il faut le fixer selon le support à l’aide
de chevilles ou de vis. Ici le rail inférieur sera fixé à l’aide de
chevilles à frapper de diamètre 6. Les chevilles doivent être fixées
tous les 30 à 40cm. Sur un support sol en béton utiliser des chevilles à frapper ou un cloueur à gaz.
Pour
le support supérieur (il s’agit ici de plaques de plâtres), les rails
doivent être fixés à l’aide de chevilles métalliques spéciales plaques
de plâtres)
NB: certains professionnels utilisent des visses à plaques de plâtres de type trompette en les disposant en quinconce.
NB2:
Si le support supérieur est constitué de plaques de plâtres il est
possible de visser le rail supérieur directement sur l’ossature du
plafonds.
Etape 5 : Installer les montants verticaux latéraux
L’étape suivante consiste à poser les 2 montants verticaux
latéraux. Le mètre laser permet une prise de mesure rapide entre le rail
inférieur et supérieur
Enlever à la mesure précise 8mm qui correspondent au débattement nécessaire au glissement du montant entre les 2 rails.
De
la même manière, les montants sont fixés soit avec des vis à plaques de
plâtres si le support est une plaque de plâtre soit avec des chevilles à
frapper si le support est un mur plein.
NB: Pour couper un montant,
il faut couper à la cisaille les 2 barres verticales du U puis plier le
montant et enfin finir la coupe.
Etape 6 : Placer les montants verticaux centraux
Les montants verticaux doivent être placés tous les 60cm, il est
conseillé de faire des marques de plus de 1cm afin de les garder
visibles y compris après la pose des feuilles de plaques de plâtres ce
qui facilitera la pose des vis.
Etape 7 : Couper et installer les montants verticaux
Une fois les marques prises, il faut prendre la mesure des montants verticaux centraux puis adapter les rails en fonction.
Astuce: pour couper chaque rail à la bonne mesure, il est pratique de laisser son mètre à l’intérieur même du rail.
Ici,
ayant une hauteur de plafond de 2, 5m environ nous allons doubler les
montants, ceci permet de bénéficier d’un doublage efficace en terme de
solidité. Pour doubler les montants il est nécessaire de les placer dos à
dos et de les assembler à l’aide d’une vis auto foreuse. Ces mêmes vis
peuvent vous servir pour sertir le montant au rail si vous n’avez pas de
pince à sertir.
Etape 8 : Assembler les montants
Assembler les montants à l'aide d'une visseuse electrique comme montré ci-dessus.
Etape 9 : Sertir les montants verticaux aux montants horizontaux
La pince à sertir quant à elle permet de sertir les montants au rail en quelques secondes.
Etape 10 : Isoler grâce à de la laine minérale
Les montants fixés, il faut disposer derrière les montant de la
laine minérale afin d’isoler au niveau acoustique et thermique la future
pièce. Il faut découper des morceaux de laine minérale de la hauteur du
doublage effectué.
Etape 11 : Choix de la laine minérale
Préférez l’utilisation d’une laine minérale pourvu d’un voile de
protection qui permet un confort de pose bien supérieur. Positionner le
par vapeur (partie cartonnée) vers soi.
Etape 12 : Positionner les plaques de plâtre
Prendre les mesures puis couper les plaques de plâtre à la bonne dimension.
Les plaques se positionnent toujours de manière verticale, bord aminci contre bord aminci.
Privilégier
la pose de la plaque depuis le haut et les raccords sur le bas (les
meubles pourront cacher les légères imperfections).
Etape 13 : Utiliser une calle pour positionner les plaques de plâtre
Quand on visse une plaque de plâtre, il est nécessaire d’utiliser
une calle pour surélever la plaque de quelques centimètres de manière à
ce que la plaque ne touche pas le sol.
Etape 14 : visser les plaques de plâtre
Les plaques de plâtre peuvent être visées à l’aide d’une visseuse
électrique traditionnelle en restant vigilant à la bonne profondeur du
vissage, c’est à dire la tête de la visse trompette doit être enfoncée
d’1mm à l’intérieur de la plaque de plâtre. Une visseuse à plaque de
plâtre permet quant à elle un gain de temps et de précision.
Il est nécessaire de placer les vis trompettes tous les 25 à 30cm.
Il existe différentes largeurs de parpaings vendus: 20cm15 cm, 10 cm, 7 : ici nous allons surélever un mur existant de clôture avec des agglos de 20 et un mortier à base de ciment. tracer au cordeau l'implantation du mur Etape 2 : Tracer l'implantation du mur
Selon le cas de figure il peut être intéressant de tracer l’implantation du futur mur à l’aide d’un cordeau. Par ailleurs, monter des parpaings peut se faire selon les circonstances à l’aide d’un fil à plomb ou d’un niveau à bulle voire des 2. Mouiller le support Etape 3 : Travailler sur un support humide
Le montage de parpaings nécessite toujours de travailler sur un support humide c’est à cette condition que nous aurons une bonne accroche et donc une bonne solidité du mur. N’hésitez pas à arroser régulièrement les parpaings ainsi qu’à badigeonner d’eau le support. appliquer une couche de mortier Etape 4 : Appliquer une couche de mortier
A l’aide d’une taloche et d’une truelle appliquez une fine couche de mortier sur le support dans le but de constituer un matelas d’environ 2 à 3 cm sur toute la longueur du mur. Positionner les agglos Etape 5 : Positionner les agglos
Positionnez ensuite les parpaings mouillés, côté alvéolé sur le bas (il existe des parpaings avec des alvéoles étudiées pour des découpes simplifiées). Ajuster le rang de parpaings Etape 6 : Ajuster le rang de parpaings
Ajuster à l’aide d’une règle de maçon et d’un maillé les parpaings de manière rectiligne puis enfoncer uniformément à l’aide du maillé les parpaings sur le lit de mortier préalablement disposé. Ajuster le rang de parpaings Etape 7 : Ajuster le rang de parpaings
Il peut être nécessaire d’utiliser le niveau à bulle afin d’ajuster l’horizontalité et la verticalité des agglos. Remplir les interstices de mortier Etape 8 : Remplir les interstices de mortier
Une fois la première rangée bien positionnée, remplir les interstices entre chaque parpaing de mortier. Veiller à bien les remplir il en va de la future solidité du mur. Humidifier à nouveau les parpaings Etape 9 : Humidifier à nouveau les parpaings
Humidifier à nouveau les parpaings posés et à poser de la 2eme rangée, et la première rangée de parpaings. Réaliser la 2ème Rangée Etape 10 : Réaliser la 2ème Rangée
Etaler de nouveau un lit de mortier (2 à 3 cm) sur la première rangée d’agglos puis préparer le positionnement de la 2eme rangée d’agglo. Attention il est absolument nécessaire de croiser les parpaings c’est à dire faire en sorte que les interstices de la 1ere rangée ne soient pas alignés avec ceux de la seconde. Vous pouvez utiliser la chute de la coupe du 1er parpaing pour finir la dernière rangée posée. Régler à nouveau à l’aide de la règle de maçon la 2eme ligne d’agglos posés. Puis à l’aide du maillé enfoncer à nouveau l’ensemble des parpaings sur le lit de mortier. Si besoin utiliser à nouveau le niveau à bulle horizontalement et verticalement, une fois les parpaings réglés au maillé récupérer l’excédent de mortier pour, par exemple, boucher les interstices entre les agglos. Remplir de nouveau les interstices de mortier. Comment fendre un parpaing Etape 11 : Comment fendre un parpaing
Pour croiser les parpaings il faut casser un parpaing en 2 afin de partir avec une moitié de parpaing. Pour couper un parpaing en 2 frapper le parpaing à l’aide du coin plat d’un piochon de manière régulière sur toute la périphérie jusqu’à ce que celui-ci casse à l’endroit souhaité. Vous pouvez également découper les agglos à l’aide d’une disqueuse: pour cela veiller à utiliser un disque diamant. Les finitions du mur Etape 12 : Les finitions du mur
Pour une bonne finition n’hésitez pas à remplir les imperfections des joints entre les agglos de manière à obtenir une bonne finition. Le temps de séchage du mur dépend beaucoup de la température extérieure et de l’humidité: le plus souvent il faut compter 12 à 24h pour obtenir une solidité intéressante. Terminer le mur par une rive batie Etape 13 : Terminer le mur par une rive batie
Ici nous avons choisi de terminer le haut du mur par une rive bâtie, pour cela à l’aide du même mortier de ciment réaliser le scellement des tuile sur la dernière rangée d’agglo, positionner une grande quantité de mortier (environ 7cm). Placer les tuiles Etape 14 : Placer les tuiles
Enfin, régler et enfoncer les tuiles à l’aide du maillé en ayant pris soin d’humidifier l’intérieur des tuiles.
Réaliser un mortier à base de ciment nécessite pour plus de facilité de mise en œuvre l’emploi d’une bétonnière. La bétonnière permet de réaliser jusqu’à 3 brouettes de mortier (soit l’équivalent d’un sac de ciment). A défaut, il est possible pour de faibles quantités d’utiliser une gamatte et une truelle. Le mortier à base de ciment sert le plus souvent pour réaliser les premières couches des enduits de façade, monter des parpaings, boucher des trous, jointer des sols en pierre, monter des murs en pierre.
Ce procédé n’est pas à confondre avec le béton à base de ciment (la qualité du sable utilisé pour ce dernier est différents et les applications aussi). Le principe du mortier de ciment est de mélanger du sable d’une granulométrie comprise le plus souvent ente 0,2 et 0,4 avec du ciment classique.
NB: attention le ciment est un produit agressif pour la peau, il est fortement recommandé de se protéger les mains et avant bras avec des habits couvrants et des gants.
Les proportions le plus couramment utilisées sont: 1 volume de ciment pour 3 volumes de sables. Il est possible d’ajouter au mortier des adjuvants à base de résine afin d’augmenter les qualités de prise et d’étanchéité du mortier obtenu.
La bonne proportion ciment, sable et eau Etape 1 : Les proportions du mélange ciment, sable et eau
Les proportions le plus couramment utilisées sont: 1 volume de ciment pour 3 volumes de sables. Il est possible d’ajouter au mortier des adjuvants à base de résine afin d’augmenter les qualités de prise et d’étanchéité du mortier obtenu.
Commencer par allumer la bétonnière puis y introduire l’équivalent d’un demi seau d’eau de maçon (y ajouter environ un verre d’eau de résine). Mettre dans la bétonnière successivement un seau de sable, un seau de ciment, puis 2 seaux de sable soit 3 volumes de sables pour un volume de ciment. Selon la quantité désirée répéter l’opération.
Pour information un sac de ciment de 35 kg correspond à environ 3 seaux, il faudra dont le malaxer avec 9 seaux de sables. Au fur et à mesure du malaxage du mortier il peut être nécessaire d’ajouter de l’eau afin d’obtenir un mortier d’une consistance plutôt épaisse. verser le mortier dans la brouette Etape 2 : Fin de l'opération
Après avoir obtenu la bonne consistance verser le contenu de la bétonnière dans une brouette ou une gamatte penser immédiatement mettre de l’eau dans la bétonnière pour la nettoyer (la laisser en marche afin de ne pas laisser sécher des résidus de mortier dans la bétonnière).
Pour réaliser un enduit coloré simple sur un mur extérieur il existe des produits prêts à malaxer très faciles d’utilisation distribués chez la plupart des grandes surfaces ou fournisseurs de matériaux. Ces enduits permettent un choix de la couleur sur un pantone. Ces produits prêts à l’emploi se malaxent à l’aide d’un malaxeur en le mélangeant simplement avec de l’eau. Si vous n’avez pas de malaxeur acheter une tige simple de malaxage que vous pouvez fixer sur une perceuse classique.
Préparer son enduit de couleur Etape 1 : Comment préparer son enduit de couleur
Il suffit de verser de l’eau dans une gamate, puis ajouter le produit tout en malaxant jusqu’à obtention d’une pâte homogène et de la même consistance qu’un mortier simple de ciment.
humidifier le support Etape 2 : Commencer par humidifier le support
Avant d’appliquer l’enduit mural il est nécessaire de bien humidifier le support et ce d’autant plus si la température extérieure est élevée. De cette manière vous retarderez la prise de l’enduit mural et vous travaillerez donc plus sereinement.
Appliquer l'enduit mural Etape 3 : Appliquer l'enduit mural
A l’aide d’une taloche et d’une truelle appliquer une première couche d’environ 3 à 4 mm sur l’ensemble du mur afin de rattraper les éventuelles irrégularités ou trous du mur en parpaing, puis laisser sécher quelques heures au minimum, idéalement 12h avant de passer la 2eme passe d’enduit. Sur un mur en parpaing comme sur notre exemple la plupart du temps il est nécessaire d’appliquer 2 couches d’enduit afin d’avoir une finition intéressante. Etape 4 : Finir en passant le talochon
Après avoir passé vos 2 ou 3 couches, laisser tirer (sécher) quelques minutes avant de passer le talochons en polystyrène afin d’écraser l’enduit. Ce procédé permettra d’obtenir une finition dite écrasée de cet enduit mural. Le talochon en polystyrène doit être trempé régulièrement dans un seau rempli d’eau.
l'enduit est terminé Etape 5 : Votre enduit est terminé
Votre enduit est terminé. laisser alors sécher endant plusieurs jours.
Faire une marque sur la coupe du tube à couper. Utilisation du coupe Etape 2 : Utilisation du coupe tube
Présenter le coupe tube sur la marque autour du tuyau, régler à la dimension du tuyau puis serrer légèrement la molette Faire tourner le coupe tube autour du tuyau Etape 3 : Faire tourner le coupe tube autour du tuyau et visser
Faire tourner le coupe tube autour du tuyau en serrant de plus en plus la molette vissée. Faire plusieurs tours autour du tuyau Etape 4 : Faire plusieurs tours autour du tuyau
Faire plusieurs tours jusqu’à ce que le tube soit entièrement découpé. Ebavurer le tube Etape 5 : Ebavurer le tube
Une fois la coupe effectuée, ébavurer l’intérieur des tubes avec le cutter par exemple.
La coupe est réalisée Etape 6 : La coupe est réalisée
Il faut d’abord veiller à ce que le support soit préparé à la pose de faïence. Pour coller directement la faïence il faut un support de type plâtre, mortier, brique, parpaing. En cas d’ancienne peinture, de tapisserie, d’ancienne faïence, de bois ou autre, il faudra préparer le support: le plus souvent à l’aide d’un primaire d’accrochage.
Ici nous avons un support de type mortier. Une colle simple et basique est donc suffisante.
Veiller également à bien protéger les alentours de la surface à traiter. choix de la colle et du peigne Etape 2 : choix de la colle et du peigne
Il faut ensuite choisir la colle adaptée au support en présence. Vous trouverez à ce titre toutes les spécifications des colles existantes chez votre revendeur de matériaux.
A l’aide d’un malaxeur préparer la colle si celle-ci n’est pas prête à l’emploi jusqu'à obtenir une colle d’une épaisseur qui vous permettra de l’appliquer au mur à l’aide du peigne sans que celle-ci ne coule le long du mur.
Il faut choisir le peigne en fonction de la dimension des carreaux et de la planéité du mur. Plus les carreaux sont grand, plus le mur est irrégulier plus il faut augmenter la taille du peigne. Ici pour des carreaux 15*15cm, et un support plat, nous utiliseront un peigne de 5 mm * 5 mm. Coller la faience Etape 3 : Coller la faience
Appliquer la colle et coller les carreaux en veillant à positionner des croisillons entres chaque carreaux afin d’avoir des joints réguliers de l’épaisseur choisie (taille des croisillons). Ici nous avons choisi des croisillons de 4mm. Nettoyer et laisser sécher Etape 4 : Nettoyer et laisser sécher
Veillez à bien nettoyer les carreaux et à enlever l’excédent de colle entre chaque carreau avant le séchage de la colle. Cela vous facilitera la tache au moment de jointoyer les carreaux. Il faut laisser sécher la colle 24h en moyenne avant de jointoyer les carreaux. Pour jointoyer les carreaux merci de consulter la fiche jointoyer du carrelage. La méthode est tout à fait similaire.